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| [Humaine] Lysandre Kheyil | |
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Lysandre
Messages : 27 Date d'inscription : 21/12/2011
| Sujet: [Humaine] Lysandre Kheyil Mer 21 Déc - 18:05 | |
| Nom: Kheyil Prénom: Lysandre Race: Humaine Âge: 23 ans aujourd'hui Sexe: Femme Ville de naissance: L'Île Parlante Classe: Guerrière (Daguiste) Apparence Physique: Lysandre a une chevelure brune, attachée de deux rubans derrière la tête. Ces yeux bleus, témoignent souvent l'innocence au fond de son coeur, mais par la haine qu'elle tente d'extérioriser, ces yeux se colorent d'un noir profond quand tout ne va pas comme elle le souhaiterait. Son corps possède toutes les cicatrices du passé. Attitude Psychologique: Fidèle à Einhasad, malgré ce qu'elle a vécu. Pendant son adolescence, elle a été violée par la main d'Elfes Sombres lâches et sans cervelle. Aujourd'hui, elle tentera de se venger, envers tout ceux, ou celles, qui oseront lui barrer la route. Elle ne lâchera jamais prise. Envers les Elfes Noirs, à présent, elle semble effrayé n'essayant en aucune manière d'attirer leur attention. De nature sympathique, serviable, ricaneuse, enjouée même. Son sourire vaut mille mots. - Chapitre I : Tranche de vie "L'Adolescence" Au présent - - Citation :
- Parfois la vie nous réserve des situations malheureuses qui nous donnent envie alors de les oublier et de les effacer de notre mémoire, mais à la fois, de les admirer, puisqu'elles ont pu nous réunir encore plus fort.
Il était d'une petite maison, tout comme moi d'ailleurs. Nos tuteurs pensaient exactement de la même façon, chose étrange et incompréhensible de la vie. Ces deux familles nous ont vendus à un Elfe Noir qui recherchait des esclaves humains. En pleine adolescence, nous avions vécu la liberté, et juste après l'emprisonnement perpétuel pendant de longues années. Notre plaisir était affaiblit, notre sourire désorienté et notre volonté souillée à jamais. De plus, ce Sombre préférait nous voir enfermer dans des cages, l'une devant celle de l'autre, plutôt que de nous laisser dormir dans un lit douillet. - Citation :
- C'est ainsi que notre vie commença, tel un cauchemar que personne ne voudrait tout simplement vivre..
Coupés du monde réel, nous étions enfermés si loin, sur un territoire que nous ne connaissions pas. Personne n'aurait su nous trouver. Il détestait me voir enfermer, et de ne pouvoir rien dire pour me voir libérer un jour. Le silence faisait passer le temps, mais nous laissait complètement amère jusqu'à la dernière heure. Nous avions même reniés notre famille, sans perdre une seconde de plus pour les châtier en silence. Il me prit la main, c'était la seule chose qu'il pouvait prendre hélas; cela me réconfortait un peu. Après une semaine si vite passée, le massacre commença son cours. Des pas lourds franchissaient le corridor près de nous. L'Elfe Noir déverrouilla alors ma cage, et me fit sortir, loin d'Ephrael. Sans comprendre, il ne dit rien, souhaitant tout bas qu'il ne m'arrive rien en échange. Je me débattais sans comprendre ce qu'il allait se passer véritablement, mais je ne voulais en aucun cas être mêler à ça. Mais il était trop tard pour refuser quoique ce soit, car c'était moi la prisonnière et l'Elfe Noir, le grand bourreau. C'est un étage au dessus du nôtre que je refusais de coopérer. L'on m'a attaché les mains avec des chaînes et les pieds également à un lit peu confortable. Les deux Sombres qui se trouvaient dans cette pièce commençaient à me dévisager de la tête aux pieds. Me voyant sans doute complètement nue au travers même de ma robe blanche... déchirée. De plus, mon propriétaire m'avait bander les yeux afin que je ne me rappelle en aucun cas, leurs deux visages. Je me souvenais par contre de leurs voix. Si graves, si rudes étaient-elles. L'un d'eux s'approcha alors de moi, et me caressa les cheveux, la joue, et descendait le long de mon corps innocent, et victime. L'autre, au même moment, osa me gifler en espérant que ma douleur l'excite encore plus qu'autre chose. Mes cris, mes hurlements si prononcés éveilla la solitude d'Ephrael, tout en bas. Son regard franchit alors le cap de l'assombrissement total pour devenir aussi noir que la nuit elle-même. De plus, il serra alors les poings, prêt à frapper celui, ou ceux, qui m'auront abusés, un jour, ou l'autre dans cette maudite vie. Et à chaque jour c'était la même répétition. Le premier soir où l'Elfe Sombre m'a ramené à ma cage, j'avais les mains qui tremblaient de peur, d'inquiétude. Il m'avait même retirer le bandeau sur mes yeux, j'avais eu des larmes qui avaient coulées sur le bord de mes joues pour coller leurs passages. Ephrael voulut me prendre la main, mais je n'avais plus d'intérêt à prendre quoique ce soit, dans cet état si pourri de la vie. Il savait tout, juste à me regarder dans les yeux, il savait lire mon cœur et voir autant de douleurs me prendre, il était devenu avide d'impuissance. Il avait même remarquer qu'on avait massacré ma belle robe blanche. Des traces de sang apparaissaient sur cette dernière. Il était difficile pour Ephrael de ne rien penser derrière ces barreaux qui nous séparaient. Il me reprit la main, me caressant le bras doucement, et s’apercevant alors que l'on m'avait même battu à l'aide de fouet ou autre qu'il ignorait. J'avais des marques sur les bras, sur tout le corps, et ça il l'ignorait. Je n'osais guère lui dire ce qu'il s'était vraiment passer dans cette chambre, par honte à moi-même d'accepter. J'étais devenu presque muette à ces sujets qui devenaient de plus en plus nombreux. Pendant que j'arrivais légèrement à dormir, par terre dans ma cage, Ephrael voulait s'enfuir si loin, pour nous sortir de là. Nous ne devions pas être là, nos familles nous ont vendus, voilà la preuve d'un amour qui n'a jamais réellement exister. Et c'est pour cette unique raison, qu'il faut sortir d'ici et vite avant qu'il ne soit trop tard. Il avait commencé à creuser à l'intérieur de sa cage, assez grand pour faire une sorte de passage. Il se plaçait devant le trou, afin que personne ne voit ce qu'il complotait dans leur dos. Plus les jours passaient, plus les marques sur mon corps se multipliaient. Et au dernier jour, de cet existence, après m'avoir amené dans cette chambre si sombre, après m'avoir battue de la même manière que les autres fois, mon propriétaire a décidé de se défaire de ma présence en m'empoignant d'un poignard dans le bas du ventre, et me lança dans un fausset près du Temple de Shilen afin que personne me retrouve, et que si quelqu'un avait à me retrouver, et bien qu'il puisse me retrouver morte. Il m'avait même retirer ma seule robe blanche, déchirée à grandeur qu'il avait soigneusement remis entre les mains d'Ephrael à son retour. Ephrael crut le pire lorsqu'il reçut la robe. Il venait de tout comprendre. Ces Sombres m'avaient violée, battue et avait tenter de me tuer pour effacer la moindre trace. Juste à l'odeur qu'avait la robe, il avait compris toute cette histoire horrible que je tentais à tout prix de lui cacher. C'est quelques heures plus tard, qu'il prit son envol et prit la fuite à l'intérieur de son propre tunnel secret. À sa sortie, il souhaitait à tout prix que ces brutes paient de leur vie ce qu'ils avaient oser faire. Les trois Sombres, discutaient dans la chambre du haut, une montagne de bières ornaient la table à leurs côtés. Saouls morts, ils continuaient de boire en parlant du corps qu'ils avaient frôlés de leurs doigts de guerriers. C'était ignoble de leur part de continuer à en parler autant, et c'est la dernière fois qu'ils en ont parler également. Ephrael prit subtilement, une bouteille de bière qu'il prit soin d'éclater sur la tête d'un de ces trois Elfes Noirs. Il lui prit son arme, et lui planta dans le cœur pour le second, et le dernier, reprenant l'arme du second, la planta dans la tête du dernier; le propriétaire. Il plaça donc la robe sur la table, comme preuve de leur massacre collectif et prit la route à regrets. Il avait le pressentiment que j'étais près du Temple. Enfin, c'était tout comme. Sur le chemin, il y avait des flaques de sang qui gisaient sur le chemin vers la forêt. Il les suivirent espérant à ce moment-là, me retrouver saine et sauve. À son pire regret, c'est un cadavre qu'il découvrit. Un cadavre qui respirait difficilement, et qui lui dit... "Sauve-moi, si tu le peux. Me laisses pas ici... s'il te plait. Il fait si froid... "C'est à cet instant, qu'il comprit que c'était bien moi. Et qu'il fallait à tout prix qu'il fasse quelque chose, car j'allais mourir ce soir. Il m'a prit dans ces bras, me soulevant de cet endroit tordu, et m'emmenant au Temple de Gludio, le territoire le plus près, afin que les Prêtresses me soignent et vite avant qu'il soit trop tard. - Citation :
- Cet attachement avait grandit en nous, pendant que nous l'ignorions pourtant
Et aujourd'hui, il était encore plus fort qu'auparavant Il avait su nous réunir, comme nous faire souffrir.
Dernière édition par Lysandre le Jeu 22 Déc - 2:34, édité 8 fois | |
| | | Lysandre
Messages : 27 Date d'inscription : 21/12/2011
| Sujet: Re: [Humaine] Lysandre Kheyil Mer 21 Déc - 20:41 | |
| Temple de GludioUne fois remise sur pied, près de la fenêtre se trouvait un petit bureau, auquel sur sa surface se trouvait un parchemin enroulé d'un ruban noir. Mon attention se porta sur son contenu. Je l'ouvris, et y vit la signature tout en bas du message, d'Ephrael. Je me mis à lire ce dernier. - Citation :
Nos routes se séparent ici, Lysandre. Tu devras poursuivre seule, et surtout n'oublie pas qui tu es à l'intérieur de toi. Malgré toutes ces péripéties qui nous ont certes, rapprochés au fil des années, Ne laisse pas le négatif planer au dessus de ta tête. Si tu recherches un mentor, va à Giran, tu pourras le trouver. Il se nomme Alexandre, c'est mon grand frère. Adieu. Ephrael Mes yeux s'emplirent d'eau, laissant couler quelques larmes sur mes joues. Je crois qu'il avait du mal à accepter notre adolescence si tragique et si ignoble. Il préférait continuer sa route seul, sans embrouilles, sans contraintes. C'était son choix, et je savais le respecter aussi. Quand je repense à ce qui s'est passé, je me rends compte que s'il n'avait pas été là, je serai sans doute morte ce soir-là. Je pris mes affaires, et prit la route vers Giran. Je ne savais pas me battre, ni encore moins me défendre mais j'avais l'espérance d'y croire une fois rendu là-bas. Je devais rencontrer un homme que je ne connaissais pas. Un homme de confiance, auquel Ephrael tenait tant que je rencontre simplement. Ville de GiranAprès quelques jours de marche, la faim commençait à se faire ressentir, et la soif encore plus. Le soleil plombait la route, le vent s'élevait également mais rien ne me décourageait vraiment. C'est au loin après quelques heures, que je vis l'immense cité marchande, qu'était Giran. Je traînais sur mes épaules le fil d'une vie massacrée, ou écorchée. Et je continuais de marcher, pour atteindre mon objectif premier. Apprendre ce que j'ignorais depuis toujours. Sur la place publique s'y trouvait un homme âgé d'une trentaine d'années. Il s'approcha vers moi. Je ne savais pas vraiment quoi dire. Il se présenta alors à moi, comme étant le frère aîné d'Ephrael. Du coup, je compris qu'il était ce Alexandre, que je cherchais à rencontrer. Ephrael, avait pris soin de faire une courte description de ma personne, afin qu'Alexandre puisse facilement me démasquer dans la foule. "Bonjour, jeune dame!" dit-il. "Bonjour." dis-je tout doucement. "Je me nomme Alexandre Zeth'yis. Frère aîné d'Ephrael, que vous connaissez tant." dit-il. "Je me nomme Lysandre Kheyil, pour ma part." dis-je aussitôt. "Acceptez-vous d'être mon apprentie pour les jours à venir ?" dit-il amicalement. "Oui." dis-je. "Très bien. Je vous demanderais de bien vouloir me suivre à ma demeure à l'extérieur de la ville." dit-il. "Et pourquoi ?"dis-je ensuite. "Pour le bien-être de votre apprentissage." dit-il pour clore le sujet qu'il engagea déjà la marche vers sa demeure. Je le suivais de loin, mais le suivait quand même. Je devais apprendre, c'était ça la vraie vie. Celle dont Ephrael espérait tant pour moi. Je n'osa pas lui demander où était aller son frère, si Ephrael ne m'avait pas dit, c'était sans doute pour une bonne raison. Peut-être qu'un jour, je pourrai le revoir surgir du passé pour venir me dicter son plus beau sourire d'autrefois. Plus tard, nous étions arrivés à sa dite demeure, de campagne. Un petit coin tranquille, où il fait bon de vivre. Les jours commencèrent à se succéder, les uns des autres. Il me dédia une chambre, où je pourrais vivre pleinement ma solitude et pouvoir dormir sous un toit confortable. Le lendemain commençait le premier entrainement. Il m'apprit donc à attaquer à l'aide d'une petite épée de bois, histoire de mieux apprendre les bases du combat au corps à corps. La seconde journée se concluait sur la réaction à se défendre rapidement. La troisième journée était sujet de duels, un à la suite des autres pour baigner vraiment dans le feu de l'action. La quatrième était une journée de repos. C'est la journée où je suis aller me promener à Giran, et faire quelques courses également. La cinquième journée devenait de plus en plus rude, car au niveau physique, elle exigeait terriblement d'efforts. La sixième journée, je possédais une dague courte qu'Alexandre m'avait confié en cadeau. De plus en plus, mon apprentissage s'élevait en vain. Et aujourd'hui, c'était le dernier jour de l'entrainement. J'étais devenue bel et bien, une guerrière, rapide, efficace et droite. Je voulais à cet instant-là, voyager. Découvrir était un mot qui m'envoûtait tellement. Oublier le passé, m'était très difficile. Le mettre de côté, et passer à autre chose, était possible. Pouvoir avoir une vie normale, et remplis de cadeaux de la vie, j’espérais tant..à présent. | |
| | | Lysandre
Messages : 27 Date d'inscription : 21/12/2011
| Sujet: Re: [Humaine] Lysandre Kheyil Jeu 22 Déc - 3:45 | |
| Les seuls vrais souvenirs d'Avant.Page I - Présentation de ma famillePrimo, mon père était qu'un sale ivrogne, fermier à l'occasion. Secondo, ma mère, tant qu'à elle, soumise depuis plusieurs années à cet homme qui ne s'intéresse que de lui-même. Elle était femme de foyer, mais son autorité vis-à-vis de lui, était devenu, lui impuissant. Il était-là, toujours à lui crier dessus comme un lâche ne savant faire que cela. Quelques mois passèrent, mais les cris de peur et de douleur que j'entendais sans cesse au fond du ventre de ma mère me hantaient certes, déjà. Mes parents habitaient l'Île Parlante, enfin, loin dans la forêt à l'intérieur d'une petite maison, pas très accueillante, mais quand même hésitante, il y a jadis.. Page II - Mon existence Me voilà dans les bras de ma mère, à l'accouchement dans sa chambre en compagnie de mon futur père. J'étais cependant, enfin unique. Pas de petits frères avec qui jouer, ni de soeurs pour me supporter même si en réalité je voulais les envier tout bas. Mon futur père me renier dès le premier jour de ma venue. Jamais, il posa ces regards sur moi. Jamais, il ne s'intéressa à moi. Pour ma mère, c'était le plus beau jour de sa vie. Des secrets à partager, des sourires à apprécier, des mots à échanger. J'étais très enchanté de la connaitre enfin. Toute cette solitude que j'avais accumuler pendant ces longs mois à l'intérieur d'elle voulait s'extérioriser. Ma mère prit donc l'initiative de me nommer, Lysandre et de m'attribuer d'elle, son nom de famille, Kheyil. Page III - Ma jeunesse épanouieD'années en années, mon père devenait plus qu'insupportable. Il buvait de plus en plus à chaque fois, et son état d'agressivité augmentait en flèche si radicalement. Depuis jamais, je ne l'avais compris, celui-là. Il m'effrayait beaucoup, ce n'était loin de là quelqu'un de sympathique seulement. Le paternel que j'avais eu à la place, n'exprimait en aucun cas, le paternel que j'aurais souhaiter d'avoir. Ma mère, tant qu'à elle, si douce, si gentille ne pouvait rien faire pour me protéger hélas, mais elle y tenait quand même. Je venais d'avoir mes 13 ans. J'étais presque qu'une femme à présent, mais sans plus. C'est pendant une soirée auquel ma mère devait aller au Village faire les courses, que mon père en profita pour me déshabiller du regard. Pour la toute première fois, il m'avait regarder. Mais hélas, ce n'était pas sa fille qu'il apercevait. Un objet de luxe, dit "convoité". Rien de plus. Il m'a subitement encourager et forcer à commettre des actes dont je souhaite toujours oublier à tout prix. J'ai goûté aux petits plaisirs d'une liaison dite "interdite", sans amour, en éprouvant et en refoulant pendant si longtemps cette honte, cette souillure, propre à moi-même. Ce soir-là, j'ai compris que lorsqu'on gagne une vie, on la perd, quel qu'en soit le prix. Cette nuit-là, une fois revenue dans ma chambre, sur le bord de la fenêtre, pleurant en silence en fixant le champ étoilé dans le ciel. Page IV - AchetéeC'est à mes 16 ans que mon père décida de me vendre à un Elfe Noir. Son nom, je l'ignorais. Ma mère, impuissante vis-à-vis de ces dires qu'elle explose en larmes, et en cris. Une autre atmosphère s'installe au creux de la maison. Une ambiance vide, le néant presque. Le jour venu, l'Elfe Noir se pointe à notre porte, et mon père me jette à ces pieds, brutalement. C'était le choix de mon père, ma mère refusa amèrement de l'accepter pendant les années qui suivirent ce choix. C'est qu'une fois rendue, blessée et sauve, que je fis la connaissance d'un autre gamin de mon âge. Il s'appelait Ephrael. C'était surtout grâce à lui, si j'avais pu survivre. | |
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